[SC.H] Première partie, Chapitre premier: Résurgence

Modérateur Nombre de messages : 61 Age : 32 Date d'inscription : 15/07/2006

Première partie
Chapitre 1:
Résurgence

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Le vieil homme trébucha. Dieux ce que cette route était escarpé ! Ces choses n’étaient plus de son âge… Vroengard était vraiment à l’effigie de ses habitants, où était-ce le contraire ?

Droite et escarpé, l’île se dressait tel un donjon au milieu des flots. Les rares sentiers qui avaient été tracé pour aménager les cavernes de l’île n’étaient aujourd’hui qu’une vieille ligne boueuse d’herbe drue… Seuls les gravié qu’on avait jeter grossièrement sur le sol empêchait les arbres de s’y développer… Et quels arbres ! Si vieux et grands… Pour ceux qui auraient vu les tréfonds du Du Weldenvarden, ç’aurait été que des petits buissons grossier, mais nul homme n’aurait pus aller sur l’île sans respecté cette végétation des temps anciens… Aujourd’hui que l’Île des Dragonniers reprenait peu à peu sa splendeur d’antan, on pouvait voire parfois un dragon de si de là faire sa petite promenade matinale au gré des vents.

Mais ce n’était pas pour la flore et la faune que le vieil homme était là, pas plus que pour les Dragonniers qui vivaient tout là haut sur le pique.

Hameln, puisque c’était ainsi que se prénommait le vieil homme, était un humain. Pas n’importe quel humain, il était le fils de feu Jörmundur, le général des armées Vardens. Hameln n’avait jamais beaucoup aimé son père, il avait consacré sa vie aux rebelles, et sa naissance n’était due qu’à une alliance entre humain et nain, à la suite de la disparition prématuré d’Eragon le Tueur d’Ombre. Mais ils avaient au moins une chose en commun : leur attachement aux Vardens.

Et c’est pour en protéger la paix que le vieil homme était là. Et du haut de ses quelques cent quatre étés ( et un mètre cinquante-cinq), il enviait presque son fils Kai d’être monopolisé par les affaires de l’état.

C’était le journal de bord de Galbatorix… Un journal que les dragonniers se devaient de tenir lors de leur apprentissage. Ce n’est que par la suite qu’on apprenait le proverbe « La vie est un apprentissage que l’on renouvelle chaques jours »…

Mais on ne pouvait pas laisser quelque chose d’aussi compromettant que le journal secret de Galbatorix en état. Surtout depuis les troubles engendrés par les fidèles de l’ancien roi à Narda remuaient le pays tout entier… La simple existence de se recueil pouvait créer des centaines de nouveaux rebelles… C’était un comble non ? Que des rebelles au pouvoir et encore des rebelles contre eux…?

Si Hameln, fils de Jörmundur, c’était déplacé lui-même, c’est parce qu’un tel manuscrit, si il existait encore, ne devait surtout pas passé par des mains véreuses…Surtout pas…

Lorsque Galbatorix c’était hissé au pouvoir, il avait pourchassé chacun de maîtres, mais aussi détruit chaque preuve de sa vie passée, à titre de revanche… Son dortoir y compri. Il en avait profité pour détruire tous les sous sols de Vroengard…

Et le vieillard avait pourtant réussit à déniché une entrer : une ancienne voie d’eau, qui ne s’asséchait qu’au plus fort de l’été. Si Galbatorix avait négligé une telle entré si simple à exploiter pour magicien, c’est tout d’abord parce qu’elle donnait sur la salle où était conservé les œufs, pour maintenir la pièce à une température adéquat à leur hibernation. Les dortoirs se trouvaient trois niveaux en dessous… Et il existait plus d’une cinquantaine d’autre voie d’eau comme celle-ci rien que pour un niveau… Les trois autres réunit, on en dénombrait plus de deux cents !

Et seul celui-ci en avait réchappé.

Hameln bondit dans le lit asséché de la rivière, faisant face au trou béant qui donnait sur les égouts.

-Barzul…

Cette injure naine signifiant « Destin maudit ». Tout d’abord, si il n’avait pas eut de sang nain, il n’aurait pas sentit ce vent aussi martyriser. Hameln compris que le chemin serait étroit, et qu’encore une fois sa stature naine lui éviterait de courber la tête pour passer…

Mais il n’aurait pas dû jurer, car le destin s’acharna sur lui, et il du arqué le dos pour se faufiler dans la galerie…

Puis il arriva dans la fosse qui bordait les niches ou ne reposait plus que des œufs brisés… Et trois mètres le séparait du sol où ils c’étaient fracasser. Par chance, un énorme rocher était tombé dans le fossé, offrant de nombreuse prise pour grimper tout en haut… Tout du moins pour un nain.

Hameln sorti donc de ce trou. Beaucoup aurait pleuré ici, fondant en larme aux milles esprits qui hantait encore ses lieux. Les esprits des dragons qui n’avaient jamais vu le jour, des étudiants qui n’avaient point finis leur formation… Mais le vieillard n’avait pas le temps d’accorder la moindre importance au passé. Il était là pour le présent…

Jouant de ses habilités naines, il finit par dénicher l’immense dortoir qui, un jour, avait héberger l’ancien roi Galbatorix… Mais la salle ne ressemblait strictement plus à rien : par si par là des os, ou des bouts de couverture qui ressortait des tonnes de terre qui avait recouvert ce niveau. On pouvait voir aussi quelques squelettes de dragon, immense, les cotes ressortant du sol tel des herses d’un château. Hameln laissa son instinct le guidé. Par intuition, il dénicha la couche de Galbatorix… Elle aussi recouverte par terre et rochers…

Alors le vieil homme commença à creuser à main nue, arrachant tantôt la paille pourrie d’un vieux matelas, tantôt les morceaux brisés d’une armoire renversée. Hameln avait l’épiderme d’un nain, pas comme son fils, qui était beaucoup plus humain, ainsi même les morceaux les plus pointus de l’armoire n’irritaient pas sa peau, et la terre ne s’y accrochait pas.

Enfin Hameln dénicha une boîte de bronze cabossé, à demie éventré. Avec milles précautions, le vieil homme dénicha la boîte. Tellement concentré qu’il n’envie pas attention aux petits bruits derrière lui…

-Barzûln…

Hameln, fils de Jörmundur, Maréchal des armés de l’Alagaësia maudit pour la première fois un ennemi : là, devant lui, sur un carnet écornés auquel un sort de conservation avait été jeté été écrit en grosse lettre : Galbatorix d’Inzilbêth.

Le vieil homme se releva, envoyant la boîte de bronze sur le côté.

Pour tomber nez à nez avec un squelette.

Pas n’importe quel squelette, si on pouvait nommer ça par ce nom…

Kai fils de Hameln, descendant de Jörmundur, se demandait encore pourquoi il se sentait le besoin urgent de rejoindre son père, ni pourquoi il se sentait vide, d’un coup… Kai voulait le rejoindre sur Vroengard, il aurait voulu envoyer un Dragonnier, mais aucun de ses beaux guerriers ne daignait passer dans sa petite ville… Le demi nain se leva, jetant un coup d’oeil à sa paperasse. Elle attendait, la vie de son père valait plus que des tubercules volés ou le mouton galeux de la ville…

Kai fit craquer ses articulations. Peut être était-ce sont instinct nain qui ressortait enfin… ? Kai recherchait la moindre excuse plausible, ou pas, pour expliquer sont trouble soudain… Son père lui envoyait régulièrement des nouvelles de sa mission, et même si il l’avait prévenu, ça ferait bientôt trois semaines que personne n’entendait parlé de lui…

Le jeune homme sortit de son bureau, triturant ses doigts par anxiété… Kai n’était pas comme son père, il n’irait pas seul sur Vroengard. Et la taverne lui semblait être un endroit parfait pour trouver quelques mercenaires…

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Rendez-vous: Alagaësia, ville de Marna: [QUETE] A la recherche du père

Guide: Kai, animé par Kieran Sänghren

Echéance: Jeudi 24 Août à 17 heure.

Participant:

Rétribution: surprise, influence sur l'avenir du forum